Cette journée de reboisement qui entre dans le cadre de la mise en œuvre du programme d’activité de la cellule environnement de l’institution, s’est tenue sous le thème : : « 𝐿𝑒 𝐶𝑜𝑛𝑠𝑒𝑖𝑙 𝑐𝑜𝑛𝑠𝑡𝑖𝑡𝑢𝑡𝑖𝑜𝑛𝑛𝑒𝑙, 𝑢𝑛𝑒 𝐼𝑛𝑠𝑡𝑖𝑡𝑢𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑎𝑐𝑡𝑖𝑣𝑒 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑙𝑒 𝑑𝑟𝑜𝑖𝑡 𝑎̀ 𝑢𝑛 𝑒𝑛𝑣𝑖𝑟𝑜𝑛𝑛𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑠𝑎𝑖𝑛, 𝑒𝑛𝑔𝑎𝑔𝑒́𝑒 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑢𝑛 𝑒𝑛𝑣𝑖𝑟𝑜𝑛𝑛𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑣𝑒𝑟𝑡, 𝑐𝑎𝑝𝑖𝑡𝑎𝑙 𝑑𝑒 𝑟𝑒́𝑠𝑖𝑙𝑖𝑒𝑛𝑐𝑒 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑢𝑛 𝑑𝑒́𝑣𝑒𝑙𝑜𝑝𝑝𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑒𝑛𝑑𝑜𝑔𝑒̀𝑛𝑒 ». Cette journée de plantation d’arbres qui est à sa 10e édition, est également une réponse à l’appel gouvernemental à chaque institution de se doter et d’entretenir un bosquet à travers le concept « une institution, un bosquet ». À l'occasion plus de mille plants composés de baobabs, d’épineux, d’acacias, de Kapokiers, de nérés et de tamariniers ont été mis en terre.

Le chef du village de Zamcé a souhaité la bienvenue à ses hôtes et a remercié le Conseil constitutionnel pour son action de reforestation au sein de son village. Il a souhaité que cette action soit pérennisée. Il a par ailleurs assurer de l’accompagnement de la population de Zamcé pour la réalisation des différents projets à venir sur le site du reboisement, car ils en sont les premiers bénéficiaires.

À sa prise de Parole, François Xavier Konséibo, membre du Conseil constitutionnel et président de la cellule environnement, représentant le président de l’institution, a signifié que ce reboisement est un « engagement patriotique » du personnel du Conseil constitutionnel, qui consiste à contribuer à reverdir le territoire national. Il a ajouté que le conseil constitutionnel veut à travers le thème de la journée, s’interroger sur les mécanismes de mise en place d’une économie verte et sur le rôle inestimable de celle-ci dans l’économie, dans la formation du produit Intérieur Brut, en particulier dans un contexte où l’accent est mis sur la mobilisation des ressources endogènes.

Le Conseil constitutionnel a entamé la mise en œuvre d'un projet viable et convivial d’aménagement de son bosquet. Un projet qui voit déjà le jour par la délimitation de l’espace réservé au bosquet par les services du cadastre et l’installation d’un forage grâce au concours de l’ONG Organisation pour le secours humanitaire.

DCP/CC